DRESSAGE

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il y a 5 ans

Une histoire érotique BDSM Gay

Je sonne à 20h à la grille de la maison. Elle s'ouvre, je traverse le jardin. Comme prévu, la porte est entrouverte, je rentre et me retrouve dans l'entrée. Mon nouveau Maître a imposé ses conditions : me mettre nu, à genou, mains derrière la nuque et l'attendre tête basse. Je m’exécute en tremblant, il avait tellement l'air sûr de lui au téléphone que je n'ai pas pu dire non. J'étais très excité et terrorisé à la fois. Au bout de dix minutes, il entre enfin. Dès que je tente de lever la tête vers lui, il me colle une gifle magistrale.

— Tsss... Bouge pas la lope, tête baissée j'ai dit.

Il me tourne autour, m'effleure avec une cravache. Toujours à genou, il se place debout avec juste son paquet son mon nez. Je le devine énorme sous un jeans serré, il est torse nu et semble très musclé. Il me bloque les poignets d'une main et m'écrase la figure contre lui, puis baisse son jeans et me fourre sa tige dans la bouche. Elle m'étouffe complètement car il impose un va et vient assez brutal, je me débats un peu.

— Tu bouges trop, je vais être obligé de t'attacher...

Il me fixe des bracelets de cuir aux poignets et un collier autour du cou avec des anneaux devant et derrière. Avec un crochet, il relie en un seul geste mes poignets à l’arrière de mon cou. Cette situation m’excite à fond. Il se remet à me limer la bouche, mais avec des coups de cravaches sur les cuisses et le cul pour me stimuler. D'un coup, il me redresse et tirant sur le collier. Debout face à lui, je le découvre enfin. Je ne suis pas déçu, il est très musclé, dur et sec. Cheveux court, une bite énorme, j'adore... Il me fixe une laisse sur mon collier, me retourne, me pousse en avant et me plaque contre le mur assez brutalement. D'un geste, il m'attache à un anneau fixé sur le mur par la laisse, très court. Avec ses pieds, il m'écarte les jambes à fond, et commence à me caresser le dos puis les fesses. D'un coup, je sens une brûlure cinglante, un coup de cravache, puis un autre. Comme j'ai les poignets toujours reliés ensemble derrière mon cou, mon dos et mes fesses sont bien dégagés, il en profite pour me les flageller très régulièrement. Comme je me met à crier rapidement, il me passe un bâillon boule, et reprend son travail, en alternant caresses et coup de cravache. C'est très dur mais vraiment bon, je suis au bord de l'explosion. Il écarte mes fesses, me passe la cravache dans la raie, puis un doigt mouillé et me f o r c e l'entrée. Un autre doigt, je me détend et m'ouvre, il sens que j'aime ca.

— Patience, ça viendra... on va rendre les choses plus confortable...

Il retire ses doigts, et me détache enfin les poignets de derrière ma tête. En les maintenant fermement, il les passe derrière mon dos et les rattache ensemble, puis les relie par une s a n g le en cuir à mon cou, pour bien dégager mes fesses. Il semble apprécier, les caresse ainsi que mon sexe pour la première fois. J'ai failli exploser immédiatement, il le sent, arrête tout et reprend sa cravache "pour me calmer" Il attr a p e ensuite mes couilles, et les ficèle bien serrées avec un lacet de cuir assez long, qu'il fait remonter entre mes fesses jusqu'à me poignets attachés dans le dos. Toujours face au mur, il reprend ses caresses en les alternant avec ses coups de cravaches. C'est bon, ça tire, ça fait mal... Il me détache du mur, me retourne face à lui, et me refixe cette fois-ci le dos au mur, par le collier. Il lit en moi mon désir, ma soumission, il enlève le bâillon et me roule une pelle fantastique, en commençant par me peloter les fesses, le sexe, les tétons. Il les titille et les pince de plus en plus fort, je gémis de plaisir...

— Sensible avec ça, on va en profiter...

Il sort et revient aussitôt avec une boite de pinces de toutes formes. Il m'en pose une sorte très fine sur chaque téton, juste à la limite de la souffrance. Comment fait-il pour savoir jusqu'où aller ? Il les tire un peu et me roule une nouvelle pelle, en tirant sur les pinces. il les essaye toutes, lentement, évaluant à chaque fois leur effet. Une fois son choix fait, il les relie ensemble par une petite chaîne à l'anneau sur l'avant de mon collier.

Il me détache enfin du mur, et me tient en laisse .

— Je vais te faire visiter.

Et c'est ainsi qu'il me promène dans sa maison, poignets attachés dans le dos, reliés par une s a n g le à mon collier, reliés à mes couilles bien tirées en arrière, pinces au seins ... je bande à fond, il me calme de temps en temps par un coup de cravache sur les fesses ou sur la bite, puis me caresse.

Il s’arrête au salon, s’assoie dans le canapé en cuir, me fait mettre à genoux à ses pieds, se sert un whisky. Cette position tire mes couilles en arrière, ce qui me fait reculer la tête, mais du coup cela tire sur mes tétons. C'est infernal de plaisir. Il bande toujours également, et enfourne sa bite dans ma bouche. Il m'impose un va-et-vient lent et réguler, je sens son plaisir monter. D'une main son whisky, de l'autre la cravache pour me stimuler, accélérer ou ralentir suivant ses ordres.

— Stop, relève toi.

Il me détache le lacet qui reliait mes couilles à mes poignets, libérant ainsi mon trou à bites.

— Viens, assis toi sur moi.

Il me maintient fermement par les hanches et me guide sur sa queue après avoir mis une capote. Il m'empale littéralement, et m'imprime un léger va-et-vient. Je gémis de plaisir. Il tire alors la chaine reliée à mes tétons assez fort, comme s'il tenait des rennes de cheval. Il m'impose son mouvement en alternant coup de bite, coup de cravache et tirant sur mes seins. Trop bon. J’arrive une nouvelle fois au bord de la jouissance, mais il s’arrête avant.

— Stop,tu n'as pas le droit de jouir sans mon autorisation, c'est compris ?

— Oui Maître !

— C'est bien, je veux te connaître un peu plus, relève toi.

Il se lève aussi, et me retire par la laisse jusqu’à une autre pièce équipée de matériel en tout genre. Il me fait coucher contre un chevalet, les fesses bien relevées, me fixe les jambes écartées au pied de l'engin, et la tête fixée par le collier. Les poignets toujours attachées dans le dos bien relevés, j'ai les fesses complètement dégagées. Il se frotte à moi, son sexe coulisse entre mes fesses. Je gémis de plaisir, j'ai trop envie de lui.

Il prend un martinet et entreprend de me lacérer le dos et les fesses, je pleure de douleur et de frustration. Alors il se retourne et m'enfonce sa bite dans la bouche "pour me faire taire" et recommence sa flagellation.

— C'est moi qui décide tu comprends ?

Au bout de dix minutes de ce régime d’enfer, il arrête et se met à me caresser. Il passe mes mains sur mes fesses, et me glisse deux doigts dans le cul.

— Allez, on va commencer l’interrogatoire.

Il remplace naturellement ses doigts par son énorme bite, avec une nouvelle capote, et la j'ai cru mourir de plaisir. Il s'est enfoncé lentement mais à fond, s'est retiré complètement.

— Bien, maintenant que tu es prêt, on va faire connaissance ... à ma façon. Je te pose des questions, en fonction de ta réponse, tu sera récompensé ou puni, Ok ?

— ... OK

Coup de cravache cinglant sur les fesses.

— Oui Maître, c’était la bonne réponse, tu as compris ?

— Oui Maître.

Et il me pénètre, doucement mais à fond puis se retire complètement

— Depuis quand tu te fais sauter comme une lope ?

— Heu, je ne sais pas, quelques mois...

Coup de cravache assez fort.

— Tu oublies vite, répond mieux !

— 3 mois, maître.

Coup de bite bien profond.

— Tu aimes la souffrance ?

— Heu, ca dépend...

Coup de cravache assez fort.

— Menteur, dis la vérité !

— Oui j'aime la souffrance alliée au plaisir, Maître !

Coup de bite bien profond .

Pendant 20 minutes, je subis ainsi son interrogatoire très personnel, de plus en plus satisfaisant puisque les coups de bite devenaient de plus en plus fort et réguliers. Il explosa en moi avec un gémissement sourd, me toucha les couilles et tira sur la chaine de mes seins, ce qui me fit exploser également.

Il repris rapidement ses esprits, me détacha complètement et me dit :

— Allez, la lope, dégage, RV demain même heure, tu devras être à poil sous ton jeans, on ira faire un tour dehors...

TOMPOILU

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